Thierry DUBOIS

Le dessinateur de la route des vacances


Thierry Dubois est né en 1963, en banlieue parisienne, d’un père français et d’une mère belge. Doit-on y voir son gout précoce pour la bande dessinée ? D’une famille qui voyage beaucoup en auto, il gardera le souvenir des grands voyages en France et l’amour des belles mécaniques. Autodidacte, il noircit ses cahiers en imitant Hergé, Franquin et surtout Tillieux, le dessinateur de Gil Jourdan. Passionné par les routes, il commence à s’intéresser à l’histoire de la Nationale 7, dont il est devenu le grand spécialiste.



Les univers de Thierry DUBOIS


La Nationale 7


La route Paris-Côte d’Azur, cela vous dit quelque chose? Mais si, voyons! La Nationale 7, vous connaissez assurément.Pour un bon nombre de Français, et les Parisiens ne sont pas les moins nombreux, cette belle route de près de 1000 kilomètres rejoignant la Capitale à la Méditerranée symbolise le temps des vacances, de l’insouciance, du soleil assuré et du bleu azuréen. C’était aussi les embouteillages dantesques, les poids lourds coincés dans les rues étroites des villages, les bouchons surchauffés...

Le Merlu


Mai 1940, l'exode, une colonne de camions tente de monter au front. Mais la percée allemande est trop forte. La troupe est faite prisonnière. Pour Georges Colin, soldat de 25 ans, il n'est pas question de moisir dans les camps. à la première occasion, il s'évade et rentre chez lui, tant bien que mal. L'armistice est signé. L'occupation commence. La petite entreprise familiale de transport est réduite à néant, ou presque. Il faudra plus que du courage pour relancer l'activité. Quand on conduit un camion, et que l'on passe régulièrement la ligne de démarcation, on intéresse bien du monde.

Le Merlu


Mai 1940, l'exode, une colonne de camions tente de monter au front. Mais la percée allemande est trop forte. La troupe est faite prisonnière. Pour Georges Colin, soldat de 25 ans, il n'est pas question de moisir dans les camps. à la première occasion, il s'évade et rentre chez lui, tant bien que mal. L'armistice est signé. L'occupation commence. La petite entreprise familiale de transport est réduite à néant, ou presque. Il faudra plus que du courage pour relancer l'activité. Quand on conduit un camion, et que l'on passe régulièrement la ligne de démarcation, on intéresse bien du monde.

Jacques Gipar


Célèbre reporter à France Enquêtes, le grand quotidien d'informations des années 50-60, Jacques Gipar ne manque jamais une occasion de se plonger dans des enquêtes toujours plus risquées.Accompagné de Petit-Breton, un petit malfrat bien renseigné sur la pègre, il sillonne les routes de France au volant de multiples véhicules qui finissent bien souvent en mauvais état.Le long de la Nationale 7, il va ainsi croiser la route du Gang des Pinardiers, déjouer les plans des redoutables Capucins, et même servir de chauffeur à Lucky Luciano...